
Photographie – Série
Fragments d’un monde
Atmosphère
Les fragments d’un monde
et
Le fantasme de la continuité







Certains lieux n’existent nul part ailleurs que dans le temps.

C’est le fantasme du fini et de l’infini, du vide ou de l’ordre, du divisible et de l’indivisible. Le fantasme de comprendre le sens, le schéma, d’y trouver la clé de toute essence.
« La géométrie est le moyen que nous nous sommes donné pour percevoir autour de nous et nous exprimer.
La géométrie est la base,
Elle est aussi le support matériel des symboles signifiant la perfection, le divin.
Elle nous apporte les satisfactions élevées de la mathématique. »



Le schéma se répète, de loin peu précis et en réalité si élégant et complexe, toute matière est enchevêtrement parfait. Toute surface est parfaite, toute constitution est parfaite. Les notes s’agencent si délicatement et minutieusement, que toute forme est perfection, toute création est émerveillement.
Loin de la main mise de l’homme, se cumulent les éléments. Ces corps géométriques et presque insaisissable à l’œil nu suivant rigoureusement un certain paterne. Constituant ainsi et malgré eux un tout, sublime et sublimant la finesse de chaque élément qui le constitue.
Paysages chauds ou arides, les lieux gardent cette saveur d’infini et de sublime, créant émerveillement, crainte, envie et satisfaction.
Observer, relier, découper, recréer, relier, la quête est la réponse pour comprendre le système.